La respiration des morts fait bouger le paysage,
bruit dans l'herbe,
et ordonne: encore!
Même si tout n'est que route vers la poussière,
encore!
Même si chaque forme n'est que le contour de la décomposition
et chaque cri rien que la musique.
Le grand visage de pierre du paysage
se dresse à l'encontre de toute réalité.