Les alentours de l'amitié
N'ont pas encore été éclairés…
Le soleil n'a cessé de naître pointu
Sur les erreurs.
Les écrits n'ont pas changé
La dureté
De l'insensibilité…
Les provocations ont été primées,
On a été les spectateurs des faits
Comme d'un torero…
Les chansons de paix
N'ont pas été entendues
Un pas plus loin.
Les douleurs
Etaient d'une profondeur
Insaisissable…
L'époque a été imprimée
Sur des pages tout noires
Et dans des cellules ensanglantées…
Des zizanies ont été semées
Parmi les pauvres
Comme méthodes innocentes…
Les imbécillités
Avaient de gros pieds
Les souffrances étaient à endurer
A cause de la famine humaine.
Les peintures,
Les discours
Et les formes
N'étaient pas pour être compris…
Malgré les douleur
Et les cris
Débordant des pancartes…